Page 11 - I. LA MODERNISATION CHINOISE FRUIT DE LA LONGUE PRAXIS DU PARTI COMMUNISTE CHINOIS ET DU PEUPLE CHINOIS

proposées à l’époque n’ont pas été entièrement réalisées. Néanmoins, de 1949 à
1978, sous la conduite du Parti et à partir de la base héritée de l’ancienne Chine, le
peuple chinois s’est bel et bien doté d’un système indépendant et relativement

complet pour son industrie, de même que pour l’ensemble de son économie
nationale. C’est ainsi que la souveraineté et la sécurité de l’État ont pu être

sauvegardées et que l’édification d’une Chine socialiste a progressé à grands pas.
Après l’introduction de la politique de réforme et d’ouverture, le camarade

Deng Xiaoping a exposé sa stratégie de développement pour le pays. Elle
comportait trois temps : premier temps, la fin des années 80 du siècle dernier, quand
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les besoins élémentaires de la population devraient êre satisfaits ; deuxième temps,
la fin du siècle dernier, quand la population devrait avoir un niveau de vie

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moyennement élevé; et, finalement, le milieu du XXI siècle, quand la Chine, s’étant
modernisée pour l’essentiel, rattraperait les pays moyennement développés. Au
début de ce siècle, la moyenne aisance régnant en Chine, le Parti s’est fixé pour
objectif, à l’horizon du centenaire de la fondation du Parti, de mettre en place une

sociééde moyenne aisance de niveau plus élevé et qui profiterait à plus d’un milliard

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de Chinois. Ensuite, il restera encore trente années d’efforts à faire pour réaliser la
modernisation plus ou moins complète du pays, l’objectif étant que la Chine

devienne un État socialiste moderne pour le centenaire de la fondation de la Chine
nouvelle.

Depuis le XVIII Congrès du Parti, le socialisme àla chinoise est entrédans

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une nouvelle ère. La nation chinoise est en voie d’accomplir un grand bond, passant
d’une nation qui s’est relevée à une nation prospère, puis à une nation puissante. Le
XIX Congrès du Parti s’est tenu à un point de départ historique nouveau et plus
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élevé. Il a pris les dispositions stratégiques pour atteindre en deux étapes l’objectif
du deuxième centenaire, fixant pour 2035 la réalisation pour l’essentiel de la
modernisation socialiste et pour le milieu du siècle la transformation de la Chine en

un grand pays socialiste moderne, quand nous aurons un pays beau, fort et prospère,
une société où règnent la démocratie, l’harmonie et la civilité.

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Du premier au XIV Plan quinquennal, notre but constant a ééde faire de la

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Chine un État socialiste moderne. Si nous avons fait des déours ; si, contre toute
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attente, nous avons rencontréde grosses difficultés et même essuyécertains revers,
notre volonté, elle, n’a jamais dévié : jamais nous n’avons faibli dans notre
détermination d’atteindre le but que nous nous étions fixé. Ce faisant, notre parti
n’a cessé d’approfondir sa compréhension, de mûrir sa stratégie et d’enrichir sa
pratique. C’est ce qui lui a permis d’accélérer la modernisation socialiste du pays en